ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 2027

Chères Françaises chers Français,

 

Déclaration du 14 juillet 2025

 

In extenso ici

>> youtube.com/watch?v=7E9BmEJbPdk <<

avec sous-titres

 

Quand on constate comment ils nous manipulent avec leurs médias et nous corrompent ou nous achètent avec leurs monnaies de singe, on comprend pourquoi ils nous méprisent et nous prennent pour des rats…> youtu.be/6aCz80MV1Qs <[…] Page de plus de 100 liens sélectionnés ici> fraternitecitoyenne.blog4ever.com/banksters  <et les mises à jour <…les banquiers gouvernent le monde grâce à la dette qui correspond à l’argent créé à partir du néant. Ils ont besoin de gouverner le monde pour s’assurer qu’aucun pays ne faiblisse ou ne tente de les renverser. Aussi longtemps que les banques privées, au lieu des gouvernements, contrôleront la création de l’argent, la race humaine sera condamnée. Ces banquiers et leurs alliés ont tout acheté et tout le monde. Henry Makow. N'est-il pas temps de nous lever et de virer les banksters !? Ne doutez jamais qu'un petit groupe d'individus conscients et engagés puisse changer le monde. C'est même de cette façon que cela s’est toujours produit. Margaret Mead.

 

Bonjour, bonsoir, mon nom est Marc JUTIER. J'appelle et je demande à tous les citoyens qui auraient envie de gouverner une France souveraine et en particulier aux personnes dont les noms sont mentionnés dans la lettre sur mon blog du 10 février 2025 ( marcjutier.over-blog.fr/2027 ), si elles voudraient bien faire partie d'un gouvernement que je présiderais si j'étais élu. En effet, parmi d’autres candidatures, je propose la mienne pour l'élection présidentielle d'avril 2027.

 

Et donc pour faire suite à ma déclaration du 12 septembre 2024 ( marcjutier.over-blog.fr/120924 ) sur mon blog, je déclare de nouveau, en ce jour de fête nationale 2025, être disponible pour être candidat à l'élection présidentielle et si une primaire des souverainistes est organisée je serais candidat à cette primaire.

 

Nous avons tout intérêt à organiser une primaire populaire des souverainistes. En effet, les avantages d'une primaire sont premièrement sa dynamique, qui permet de rassembler plus largement que de se ranger directement derrière un candidat ; et deuxièmement, pour les candidats, d'apparaître comme des gens qui respectent fondamentalement un processus démocratique et non pas comme des arrogants qui se prennent pour des sauveurs de la nation.

 

Mais, si cette primaire n'est malheureusement pas organisée et si, bien entendu, je rassemble les 500 formulaires de présentation, je serai donc candidat évidemment au 1er tour de l'élection officielle en avril 2027.

 

Nous – votre serviteur et ceux qui me soutiennent – avons voté NON au référendum sur le TECE du 29 mai 2005. Nous sommes pour le Référendum d'initiative Citoyenne. Nous sommes pour la paix en Europe. Nous sommes pour une souveraineté de la France en termes économiques et financiers et donc pour la sortie de l'euro.

 

Nous pensons que la véritable opposition politique à la politique néolibérale européiste est à créer et que face à cette impasse politique, il devient urgent de construire une véritable opposition démocratique, populaire et souverainiste.

 

Nous sommes des citoyens de tous horizons, certains engagés de longue date dans divers partis, d’autres récemment éveillés à l’action politique et nous sommes descendus ou pas dans la rue lors du mouvement des Gilets jaunes. Ce qui nous unit, c'est notre attachement à la souveraineté populaire, à la démocratie directe et à l’indépendance nationale.

 

Nous sommes pour un projet politique qui propose de restaurer le "bien commun" menacé par le projet néolibéral – prédateur, inique et destructeur de l'environnement – et une république souveraine dans le sens où elle s'oppose au projet mondialiste de l'oligarchie financière internationale qui veut détruire les nations et nous sommes ouverts à tous ceux qui partagent cette lutte contre la mondialisation.

 

En effet, depuis la chute du mur de Berlin fin 1989 et la chute de l'Union Soviétique fin 1991, les USA ont voulu nous imposer leur nouvel ordre mondial néolibéral unipolaire ; mais cette vision du monde issue de la fin de la guerre froide fait déjà partie du passé depuis l'émergence du monde multipolaire proposé par les 10 pays des BRICS+ et la victoire inéluctable de la Russie en Ukraine. En effet, c'est fini, les États-Unis d'Amérique et leurs États vassaux comme l'Union Européenne, le Royaume-Uni, le Canada, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, le Japon et la Corée du Sud avec leurs bras armés et de renseignement que sont l'OTAN, l'AUKUS et le Groupe des cinq ne seront plus les gendarmes du monde.

 

C'est bien pourquoi, si je suis élu en mai 2027, je proposerais dans les trois premiers mois de mon mandat un référendum avec ces trois questions indépendantes :

- Êtes-vous, OUI ou NON, pour la sortie de la France de l'UE ?

- Êtes-vous, OUI ou NON, pour la sortie de la France de la Zone euro ?

- Êtes-vous, OUI ou NON, pour la sortie de la France de l'OTAN ?

 

 Voici donc ma profession de foi :

 

Tout d'abord, sachez que ma candidature à l'élection présidentielle n'est pas une nouveauté, en effet, je suis passé sur France 2 le 19 mars 2002 dans un reportage qui s'intitulait > Candidats insolites à élection présidentielle suite à l'envoie de quelques milliers de courriels en janvier 2000. En 2025, j'ai 62 ans et cela fait donc 23 ans que j'ai déclaré officiellement à la télé être disponible pour être Président de la République Française et 25 ans que je suis en pré-campagne.

 

Mais pourquoi suis-je candidat à la magistrature suprême ? Tout a commencé en 1997, lorsque je me suis engagé en politique et que j'ai décidé de consacrer ma vie à contribuer à la transformation de cette société que je trouvais – et que je trouve toujours ! – absurde, violente, extrêmement polluante et inégalitaire. J'ai trouvé qu'il est en effet plus que temps de sortir de l'impasse des idéologies néolibérale et ordolibérale, et que leur nocivité ne sont plus à démontrer.

 

Mais d'où vient la nocivité du système ? Elle vient de l'immense supercherie du système monétaire qui règne en maître absolu – mais discret – sur notre société. J'ai compris et découvert petit à petit dans les années 1985-95 – d'abord au Canada puis en France – le fonctionnement profondément pervers de ce système monétaire qui provoque un asservissement absolu à ceux qui détiennent le contrôle de la création monétaire et donc au stress perpétuel qu'il engendre sur l'humanité et la nature par ses exigences comptables d'intérêts, de dividendes et donc de rendement. Ces diktats de croissance, de profit, de bénéfices n'ont plus aucune raison d'être – et en ont-ils eu dans le passé ? – dans une société qui a développée des moyens de productions extrêmement efficaces (machines, usines automatisées, robots, logiciel et intelligence artificielle).

 

J'ai d'ailleurs écrit un ouvrageLa Monnaie, hier, aujourd'hui et demain – préfacé par un de nos plus grands économistes vivants en France : Serge Latouche – voir son ouvrage : L'invention de l'économie – pour dénoncer ces colossales escroqueries que sont : la science économique, le diktat de la croissance, les raretés entretenues de la production et de la monnaie. Cette mystification monétaire s'est mise en place au cours des quatre siècles de l'histoire du capitalisme c'est à dire depuis l'apparition de la banque moderne et de la comptabilité en partie double au milieu du 17e siècle aux Pays-Bas.

 

Le constat de Fisher en 1935, dans « 100% Money », est clair : « Et si notre système monétaire n'avait jamais été véritablement réfléchi ? ». De fait, le système monétaire actuel ne serait qu'une pure contingence de l'histoire, modelée au cours des siècles par l'appât du gain des banquiers. Ce système monétaire serait « le maillon faible » de notre système économique et la cause principale des épisodes récurrents de boom et de dépression dont souffrent les économies capitalistes depuis le début de son histoire, c'est-à-dire depuis l'invention de la monnaie créée ex-nihilo par les banquiers.

 

Irving Fisher – un des économistes le plus connu du début du 20e siècle – n'est pas le seul a dénoncer cette escroquerie et à proposer des alternatives. En France, il y a eu Jacques Duboin dans les années 1930 et Maurice Allais (prix Nobel d'économie en 1988) ; également des personnages comme Silvio Gesell au début du 20e siècle ou encore l'ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas qui inspira même un parti politique aux Canada : Les créditistes – the Social Credit Party of Alberta – qui amena un premier ministre à cette province en 1935.

 

Aujourd'hui, c'est l'IMMR (International Movement for Monetary Reform) qui fait la promotion d'alternatives monétaires au niveau international du système actuel. En France, c'est le Mouvement Monnaie Juste*, dont je suis le coordinateur, qui a la responsabilité de faire connaître à l'ensemble de nos concitoyens la profonde nocivité du système actuel et l'existence d'alternatives à ce système dont celui qui fait le plus consensus : « Monnaie Pleine » en référence à « 100% Money » de Fisher et à une votation qui s'est tenue en Suisse le 10 juin 2018*.

 

Ce n'est donc pas par lubie passagère que je veux m'adresser à l'ensemble de nos concitoyens mais par la profonde conviction que si nous changeons de système monétaire, nous pourrons mettre en place un projet de société beaucoup plus paisible et harmonieux. Les civilisations comme les êtres vivants finissent par mourir. Car, évidemment, si nous en avons la volonté, rien ne nous interdit d'élaborer puis de mettre en place un autre modèle de société, une autre façon de vivre ensemble, un nouveau rapport avec la nature.

 

Ma candidature ne peut que s'insérer dans une démarche souverainiste car le contrôle de la monnaie sur un territoire est évidemment la base même de la souveraineté d'un peuple dans son pays et c'est bien pourquoi je suis candidat à une éventuelle Primaire populaire des souverainistes.

 

Nous sommes en pleine reconstruction des forces politiques dans notre pays et une importante remise en question se fait dans la tête des gens. Je sens qu'un discours comme celui que je tiens pourrait convenir étant donné les changements économiques et géopolitiques actuels.

 

L'élément central de la vision et du projet pour l'avenir de notre pays que je propose est donc une réforme monétaire fondamentale, appelée « monnaie pleine » – décrite dans mon dernier ouvrage sur la Monnaie – cette réforme sera mise en place par des universitaires dont vous trouverez les noms sur mon site de pré-campagne avec tous les liens pour étayer mes propos.

 

D'autre part, la question que l'on devrait se poser, est : Est-ce aux médias de grand chemin aux ordres du pouvoir financier ou aux citoyens de choisir leur président ? En clair, s'il vous plaît, devenons adulte, jugeons les candidats par nous-mêmes ! Pourquoi ma candidature serait moins légitime que celle de Macron ? Parce que je ne défends pas les intérêts de ceux qui payent les médias, les 1% d'ultra-riches !? En effet, si vous pensez que les médias sont objectifs et qu'ils ne défendent pas les intérêts des ultra-riches qui les payent, ne m'écoutez pas ! Mais si vous avez quelques doutes sur l'impartialité des médias alors merci de prendre quelques minutes pour m'écouter.

 

Malheureusement, une majorité de nos concitoyens sont encore sous l'emprise des médias de masse et nous ne serons donc pas vraiment en démocratie, tant que ces médias – aux services du pouvoir financier – crédibiliseront, légitimeront et finalement décideront de qui sera au pouvoir.

 

Ces médias nous préparent déjà une fausse campagne entre: Glucksmann, Retailleau et Philippe – qui ne dérangeront bien entendu absolument pas le pouvoir financier – qui vont faire « BARRAGE » au RN de Bordella ou de Le Pen et à une foire d'empoigne entre Ruffin, Tondelier, Roussel, Autain, Faure, etc. pour la succession du candidat de « gauche » Mélenchon qui ne va pas lâcher l'affaire et qui de toute façon, les uns comme les autres, ne remettront pas non plus en cause le diktat des banquiers.

 

Il est donc évident que cette presse au service du vrai pouvoir – la finance – ne parlera jamais d'un candidat qui veut leur enlever leur pouvoir de nous tenir en esclavage ! Pour nous les 99%, pour moi qui ai le courage de dénoncer cette supercherie à l'ensemble de nos concitoyens lors d'une campagne pour l'élection présidentielle, veuillez transmettre ce message à 10, 20 ou 100 électeurs Français.

 

D'autre part, l'élection présidentielle n'est que la première partie d'une campagne qui est jumelée avec les élections législatives qui suivront presque certainement. Alors, si vous avez envie de vous impliquer en politique pour votre pays et que vous êtes dans le camp patriote – de gauche ou de droite – c'est à dire que vous vous reconnaissez plus dans une vision souverainiste que mondialiste, que vous êtes pour plus de démocratie – autrement dit, pour plus de pouvoir du peuple – que pour une oligarchie financière et que l'idée de plus de bien commun vous parle plus que l'égoïsme du néolibéralisme, alors, présentez-vous aux élections législatives.

 

Pour se présenter aux élections législatives, il faudra évidemment créer un parti au sens de la loi n° 88-227 du 11 mars 1988. Le nom de ce futur parti sera choisi lors d'une assemblée générale constitutive. Il s'agit de se rassembler pour créer un grand mouvement populaire. Bien entendu, ce futur parti aura pour vocation de s'installer dans la durée et à gouverner la France.

 

Nous sommes en guerre contre l'oligarchie financière qui veut nous imposer une forme de totalitarisme numérique et monétaire. C'est malheureusement indéniable et les banksters qui se réunissent entres autres dans des clubs discrets comme le Bilderberg et officiellement au Forum de Davos et qui ont créés en France un institut de formatage : la French-American Foundation, veulent nous amener vers une dictature bancaire avec la disparition de la monnaie papier pour une monnaie 100% numérique.

 

Il faut bien comprendre que l'économie de marché est basée sur deux escroqueries : premièrement une rareté artificielle de la monnaie et deuxièmement une rareté maintenue de la production. De fait, il n'y a pas de sciences économiques, c'est un attrape-nigaud, une invention des banquiers pour justifier leur colossal pouvoir, leurs règles du jeu, leur comptabilité, leur domination absolue sur l'humanité.

 

Aujourd'hui comme hier, il y a une lutte des classes entre les nomades de l'hyperclasse, c'est à dire ceux qui contrôlent le système monétaire et leurs serviteurs – les médias, les technocrates et la plupart des politiques – d'une part et tous les autres d'autre part, c'est à dire nous les 99%.

 

Soyons clair, la monnaie ne peut fonctionner que si elle est maintenue artificiellement rare pour 99% des gens, mais évidemment, il n'y a rien de plus facile à créer que la monnaie (c'est juste des chiffres sur des écrans) et donc pour cacher leur incurie (concrétisée par les nombreux Q.E. et les dettes souveraines abyssales), leur escroquerie (le système monétaire actuel, c.a.d. une monnaie créée ex-nihilo et contrôlée par les banques privées, dénoncée par Maurice Allais prix Nobel d’économie, la déclarant identique à celle de faux monnayeurs, ce qui a eu pour conséquence immédiate son bannissement des médias) et pour continuer à nous maintenir en esclavage, la seule solution pour l'oligarchie financière c'est de dématérialiser complètement la monnaie afin d'éviter une panique bancaire ou bank run, car le bank run est la seule hantise du banquier, et sans papier plus de bank run possible !

 

Pour les mondialistes néolibéraux, le terme de « choix politique » perd toute signification car la société, selon leur idéologie, n’est qu’une somme d’individus, ce qui justifie qu’il faut dépolitiser les débats au profit de simples mécanismes de marchés auto-régulateurs, la fameuse « main invisible du marché » selon eux. Mais en fait, de façon plus réaliste, il s'agit bien de la main bien concrète du créateur de la monnaie, du banquier, du pouvoir absolu de la finance.

 

Les médias dominants au service des mondialistes font même passer le terme de souveraineté comme une incongruité, voire une grossièreté ou une incorrection! Il est sans fondement de lier le risque de dérive nationaliste agressive à l’idée de souveraineté, ce n'est qu'un argument des mondialistes pour tenter de décrédibiliser la souveraineté des peuples afin d'imposer la dictature mondiale des banquiers. Il nous faudra reconstruire les chemins d’un vivre-ensemble apaisé par une souveraineté populaire au sein de la nation.

 

Le peuple doit prendre conscience de l’importance fondamentale de la création monétaire. Les citations d’hommes célèbres tels que Thomas Jefferson, Napoléon, Abraham Lincoln, Woodrow Wilson, Henry Ford, JF Kennedy, Maurice Allais, Bernard Marris, etc. confirment cela. Même Rocard avait déclaré à la radio que, je cite « nous vivons dans un super État bancaire international ». Chaque jour, chaque citoyen pense à l’argent et pourtant combien savent comment est créée l’argent ? C’est la preuve d’une manipulation de masse extraordinaire ! Le système monétaire actuel est la principale source de nos problèmes de société et d'environnement.

 

Ce système – la création monétaire ex nihilo par la dette – est profondément absurde, défectueux et inique ; de fait, c'est une véritable escroquerie. Les questions de comment est créée la monnaie et de quelle est la motivation de ceux qui contrôlent son émission, sont primordiales. La monnaie n'est qu'un moyen pour mobiliser l'énergie humaine et son émission devrait légitimement appartenir aux institutions représentant les citoyens et… ce n'est pas le cas aujourd'hui et c'est bien le cœur du problème !

 

Le pouvoir dans nos démocraties est donc détenu par les maîtres du capital financier globalisé. Ce sont ces oligarchies qui gouvernent la planète, un pouvoir invisible, non élu, qu’a dénoncé Woodrow Wilson président des États-Unis juste après la création de la FED le 23 décembre 1913.

 

La démocratie française, comme toutes les autres de l'UE, n’a pas le pouvoir réel sur les choses essentielles. Les décisions sont prises par les oligarchies, c’est-à-dire les PDG des grandes banques et des sociétés multinationales. Ces transnationales échappent à tout contrôle parlementaire, étatique ou syndical. Ces oligarchies ont une seule stratégie : la maximalisation du profit dans le temps le plus court et à n’importe quel prix humain et environnemental.

 

Cela aboutit à l’affaiblissement des institutions démocratiques, à un mépris absolu du bien commun, à la destruction progressive de la planète, de la biodiversité, des forêts tropicales, avec l’empoisonnement des sols, de l’eau et des mers. Leur dogme, l'obscurantisme néo ou ordo libéral qui dit que seul le marché fait l’histoire et qu’il obéit à des «lois naturelles» est, évidemment, un pur mensonge.

 

On ne peut pas humaniser, améliorer, réformer un tel système. Aucun des systèmes d’oppression précédent, comme l’esclavage, le colonialisme, la féodalité, n’a pu être réformé. L’oppression ne se réforme pas.

 

Sur l'échiquier politique de la droite à la gauche social-libérale, tous défendent l'ordolibéralisme de l'UE, tous sont complices de cette oligarchie financière, tous défendent cette idéologie qui considère que le politique n'a pas à intervenir dans le domaine économique. Selon eux, selon la théorie ordolibérale, l'État a pour responsabilité de créer un cadre légal et institutionnel à l'économie, et de maintenir un niveau sain de concurrence « libre et non faussée » via des mesures en accord avec les sacro-saintes « lois du marché ». Bien que l'ordolibéralisme se distingue du libéralisme classique anglo-saxon fondé sur la dérégulation et le « laisser-faire », il est cependant un libéralisme en ce que l'État doit se cantonner à la fixation et à l'application de ces règles et ne doit pas mener de politique économique structurelle ni même conjoncturelle.

 

La société de consommation actuelle a tendance à enfermer les gens dans des attitudes individualistes où chacun s’isole et vit pour lui-même. Pour en sortir, il faut reconstruire une société plus solidaire, qui permette un partage plus égalitaire des richesses et offre une promotion à chaque être humain. Notre société trop souvent mécanique, froide et impersonnelle, souffre d’une déshumanisation, de logiques strictement comptables et de perspectives à courte durée. Une citoyenneté bien comprise devrait instaurer davantage de partage, de fraternité et de liberté pour conduire des actions créatrices d’avenir.

 

Le modèle de société néolibérale qui a produit la contre-civilisation qui est la nôtre est un cancer qui ronge et détruit non seulement le vivant, la terre, les mers, l’air, tout ce qui marche, nage, pousse ou vole, mais qui annihile aussi les sociétés humaines, les rabaissant à un agglomérat d’égoïsmes en concurrence, de consommateurs compulsifs aliénés aux « cerveaux disponibles ». Il n'est plus à démontrer les ravages de l'idéologie libérale (néo ou ordo) sur l'humanité et la nature. C'est donc une alternative à ce système mortifère que nous devons mettre en place. Un retour du politique dans l'économie premièrement par un contrôle de la monnaie par l'État afin de développer une société plus juste et plus respectueuse de l'environnement. Un modèle de société réellement social, écologique et démocratique.

 

Il serait tout à fait possible de vivre dans une démocratie radicalement différente de celle d'aujourd'hui. On pourrait facilement vivre dans une société plus harmonieuse et cela n'a rien d'extraordinaire dans le fond. Si nous ne vivons pas déjà dans une société plus apaisée, c'est simplement parce que nous n'avons pas ouvert les yeux en termes de choix politiques fondamentaux. Ce sont nos choix politiques qui doivent déterminer si, oui ou non, les banques privées, les transnationales, la société de consommation et la publicité existent ou n'existent plus ; si, oui ou non, la fonction bancaire doit être un véritable droit régalien ou un droit privé comme aujourd'hui ; si, oui ou non, le pouvoir politique partage avec les citoyens et les élus de base, le fonctionnement de la production de marchandises et du système dans son ensemble.

 

Suite au rétablissement de notre souveraineté monétaire, il nous faudra, également, récupérer notre souveraineté économique par une planification aux fins d’une reconstruction de chaînes de la valeur plus autocentrées sur le territoire ; et forcément par une interdiction de la financiarisation et des activités spéculatives parasitaires et rentières ; une décarbonisation des activités ; un développement des filières écologiques comme par exemple celle de l’économie circulaire. Il faut utiliser notre souveraineté économique pour rebâtir un monde moins concurrentiel et respectueux des valeurs françaises : rétablir des droits de douanes compensateurs des inégalités de protection sociale entre pays ; établir le principe d’un maxima des rémunérations.

 

L’Union Européenne est une technocratie exclusivement au service des banquiers, des multinationales et des marchés, au sein de laquelle les états membres ont perdu leur capacité d’autodétermination dans la plupart des domaines dont, la sauvegarde des services publics, les couvertures sociales, les retraites, l’autonomie monétaire, la gestion de l’endettement, le contrôle des importations et des flux migratoires, la défense nationale - la liste est évidemment non exhaustive. Pourtant toute nation doit absolument disposer de sa totale autodétermination afin d’être en mesure de sauvegarder, tant le bien être de sa population que son propre équilibre économique.

 

C’est ainsi que pour promulguer les lois en faveur de la population, dont celles qui permettront de reprendre la main sur l’ensemble de ces dérives, il sera nécessaire de s’affranchir de cette tutelle mortifère européenne, dont l’histoire démontre qu’elle fut créée sous l’impulsion américaine, avec le consentement coupable de nos élites, dans un but d'une domination sur l’Europe. Avec cette décision, la France populaire, fidèle à son histoire de fer de lance en terme de lutte pour la sauvegarde des valeurs humaines, devra à nouveau être à l’initiative. Les conséquences économiques et sociales nettement positives, réveilleront automatiquement les populations des autres pays, qui entraîneront naturellement leurs nations à faire de même. En tant que l'un des 5 membres permanents du Conseil de sécurité de l'O.N.U., la France retrouvera sa place dans le concert des nations, où elle sera écoutée.

 

Afin de promouvoir l’harmonie européenne de l’Atlantique à l’Oural, un accord de partenariat solidaire dans le respect de l’autodétermination des nations, sera proposé aux pays européens. Cet accord visant des échanges commerciaux équitables, sans concurrence entre nations, fera revivre l’OIC (Organisation Internationale du Commerce) qui fut signé en 1948 entre 54 pays industrialisés, y compris par les États-Unis qui le dénoncèrent par la suite afin de le remplacer par l’OMC en 1995 pour l’effacement des frontières commerciales, source de la concurrence des travailleurs les uns contre les autres à l’échelle mondiale.

 

L’exemple mitigé de l’indépendance de la Grande Bretagne face à l’UE, ne sera pas à considérer, entendu que la connivence contre les peuples de la part des hautes bourgeoisies restées aux manettes, y a fait le choix de laisser précisément le pays dans les règles de l’OMC évoquées ci-dessus, laissant le monde du travail, dans la précarité de la désindustrialisation et de l’agriculture en déclin.

 

Dans cette démarche d’autodétermination de la nation, nous serons aussi motivés par le constat de l’accélération des dégradations de notre société depuis l’intégration à notre constitution en 2008 du traité de Lisbonne qui met la France sous la tutelle de l’oligarchie européenne. Une opération effectuée par la trahison de Sarkozy et de nos parlementaires à la majorité des 3/5èmes, avec la reprise du Traité Constitutionnel Européen pourtant refusé par les électeurs français par référendum le 29 mai 2005.

 

Nous sommes de plus en plus nombreux à proposer une nouvelle civilisation d'harmonie, d'autonomie, de liberté, de partage, de respect mutuel et de préservation de l'environnement ; cette vision a commencé dans nos têtes et la concrétisation de cette société est inéluctable. Forcément, ceux qui sont à la tête des transnationales, ceux qui nous manipulent et nous tiennent en esclavage avec leur monnaie de singe n'apprécient pas cette évolution, cette prise de conscience ! Une nouvelle forme d'organisation sociale, un nouveau paradigme libéré de l'emprise du marché et de l'esclavage de la monnaie dette émerge à l'horizon, nous sommes à l'aube d'une nouvelle civilisation.

 

Dans de plus en plus de pays, les peuples défendent leurs souverainetés contre les banquiers-mondialistes. La question qui compte est : « est ce que les individus, les institutions et les nations sont souverains, notamment concernant les questions d’alimentation, de santé et de libertés, ou bien sont ils sous le contrôle et la domination d’une oligarchie et d’un gouvernement mondial qui pourrait dégénérer en dictature !? Autrement dit, sommes nous pour un monde unipolaire contrôlé par les banquiers, les multinationales et le « divin » marché ou pour un monde multipolaire ; ou encore sommes nous pour une Union Européenne ordolibérale ou pour une Europe de nations souveraines qui collaborent aux niveaux militaire et géopolitique. C’est à ces questions cruciales, c'est à ce choix de société auquel nous devrions répondre par nos suffrages lors des élections souveraines de notre pays : les élections législatives.

 

Nous sommes pour le Référendum d'initiative citoyenne, pour un revenu universel et un contrôle de la monnaie par l'État. Nos propositions sur l'éducation, l'agriculture, l'alimentation, la santé, les affaires étrangères, la défense, la justice, la police, les institutions, la monnaie, la production et la distribution des biens matériels, la culture, l'énergie, le logement, la ruralité, les transports, etc., feront l'objet de débats entres les membres de ce futur parti afin d'établir notre projet pour les élections législatives.

 

Un vrai chef d'État se doit d'avoir une résilience, une liberté intérieure ainsi qu'une intelligence émotionnelle suffisamment développée pour avoir un relationnel équanime et bienveillant – l'étude et la pratique de la voie bouddhiste depuis quelques dizaines d'années m'a permis d'affirmer ces qualités essentielles afin d'animer de façon juste une équipe, un exécutif et de gouverner la France paisiblement et pacifiquement.

 

À ceux qui voudraient participer à un gouvernement d'une France souveraine et surtout à ceux qui voudraient bien demander aux maires élus en mars 2026 et autres élus de la République de signer et remplir avec mon nom le formulaire de présentation, je vous remercie par avance de bien vouloir me contacter.

 

Il n'y a peu de chance que les médias dominants se fassent l'écho d'un candidat qui est l'adversaire du pouvoir financier ! Un candidat qui défend les intérêts du peuple ne peut être porté que par le peuple … VOUS ! Merci de faire connaître cette déclaration et ce site de campagne à tout Français. Bien à vous et vive la France.

 

Autre Profession de foi et dossier de presse pour l'élection présidentielle prévue en avril 2027 > marcjutier.over-blog.fr/mj2027 <

 

SOUVERAINETÉ de la FRANCE et du peuple Français > https://marcjutier.over-blog.fr/france <

 

Marc JUTIER ○ marcjutier2027.fr ○ marcjutier@gmail.com ○ 07 68 54 92 33 ○ X ○ Profil & Page ○ CV & articles ○ bibliographie ○ Blog ○

 

Notes : *Le Mouvement Monnaie Juste – initiative monnaie pleine> monreform.org/members/europe/france-mouvement-monnaie-juste - mouvement-monnaie-juste.blog4ever.com - Initiative Monnaie pleine - initiative-monnaie-pleine.ch < Qui crée et comment est créée la monnaie ? > mouvement-monnaie-juste.blog4ever.com/qui-cree-et-comment-est-creee-la-monnaie <